Quelques mots sur « Graceland »…

La saison 1 est finie.

Bon, après ma pause de flemmardise, je vais profiter des vacances pour faire quelques bilans de saisons :’). Et parce qu’on est en hiver, qu’il fait froid et tout, c’est le moment de parler du soleil et des séries de cet été x’D.

Déjà, il y aura une saison 2. Au début, j’ai été intéressée car j’étais dans ma phase Les Misérables et qu’Aaron Tveit jouait dedans. Puis bon, une série estivale d’USA, on sait ce que ça donne… des beaux gens, du soleil, de la détente. En gros, Graceland remplit bien son contrat sans plus ni moins. Et je crois que ça me gêne… De base, le synopsis donne déjà un avant-goût de ce que sera la série. « Les agents de différentes agences gouvernementales, aux objectifs et qualifications diamétralement opposés, sont engagés sur une périlleuse opération d’infiltration. Pour réussir cette mission, ils sont contraints de cohabiter dans une maison secrète en Californie. » Comprendre, des mecs musclés avec des nanas canons qui vont se balader souvent en petite tenue car ils sont près de la plage et qui vont jouer avec des flingues car ils sont des agents secrets. Bon, ce n’est pas grave, on a vu pire chez USA.

Verdict après 12 épisodes. Effectivement Daniel Sunjata qui joue le chef de cette joyeuse troupe n’est pas moche à regarder, loin de là, le petit bleu en la personne de Tveit s’est plutôt bien intégré à la vie près de l’océan et le reste de la bande n’est pas à plaindre. Une affaire de drogue sert d’excuse pour les voir se déchirer, douter les uns des autres, cacher puis révéler des secrets, créer du drama. Rien de nouveau sous le ciel d’USA. En fait, seul intérêt à mes yeux là, au lieu d’avoir deux héros principaux (duo Neal/Peter, Annie/Auggie, Harvey/Mike), j’ai l’impression que les personnages secondaires de la maison ont aussi un peu plus de consistance. Sûrement le fait qu’ils habitent tous ensemble, ce serait bizarre que les autres soient simplement survolés. Et je crois que j’aime mieux ces « autres » que les deux principaux qui sont parfaits dans leurs clichés. Celui du gentil héros et celui du grand blasé au bon cœur au fond.

C’est pas nouveau, mais on s’attache quand même aux personnages. Et c’est au final un bon divertissement pour un procedural. J’avoue que je préfère quand même White Collar pour l’aspect culturellement intéressant en plus. Bien loin des séries de vraie infiltration, où les opérations sous couvertures sont complexes et l’immersion chez les trafiquants est faite à 100%, on reste dans une série estivale.

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